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La vie au jour le jour
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22 avril 2008

Lien vaccin-autisme et EarthDay

Le lien vaccin-autisme a été identifié et il semble qu'un enfant sur 50 ait le risque de développer une maladie après un vaccin. Regardez les autres videos (toutes en anglais), l'information est finalement sortie dans les médias courants.

Comme toute information publiée et reprise par la presse, je ne peux que vous recommander de lire sur le sujet tout ce que vous pouvez et de faire un choix informé face à la vaccination.

En résumé et en français les enfants qui souffrent d'une condition appelée Mitochondrial Dysfunction auraient de fortes (mal)chances de contracter une maladie grave après une vaccination. Il semble qu'un enfant sur 50 soit victime de cette Mitochondrial Dysfunction. Donc que se passera-t-il si votre enfant est victime de cette Mitochondrial Dysfunction? Plus l'organisme a une immunité faible (comme les bébés à la naissance), plus le risque de maladie sera élevé en cas d'agression, et un vaccin représente un agression de l'organisme.

A propos, j'espère que vous savez tous qu'en FRANCE le BCG n'est plus obligatoire. Seul le DTP initia et quelques rappels sont obligatoires en France.

EARTH DAY

A propos le 22 Mars 2008 est Earth Day donc un jour où sont encouragés les gestes pour un développement durable et la protection de la terre. Pas facile de trouver quelque chose en francais!  Allez sur Google et clickez sur le magnifique logo à propos de l'Earth Day.

Pour ma part, 2008 est l'année d'élimination du plastique dans ma cuisine. J'ai remplacé mes bols de mixage en plastique par des bols en verre, pas de problème si ce n'est que je ne les traite pas aussi bien et il y a déjà des éclats. Je n'ai pas encore remplacé mes containers de stockage au frigo, mais je ne mets que des choses froides et jamais de soupes chaudes dedans. Au niveau des produits de la salle de bain et des produits de nettoyage (vinaigre blanc), je n'achète que des grandes quantités et je recharge la bouteille courante (en plastique mais achetée une seule fois). J'ai recommencé mon compost dans la cuisine avec une poubelle spécifique avec un sac en matériel decomposable aussi. Je vais me créer une nouvelle pile de compost, mais je lorgne sur des super composteurs de course!

Je n'ai que des sacs de shopping en papier (des supermarchés suisses Migros et Coop) ou recyclables (des supermarchés français). Et si je les oublie, je n'achète que des sacs recyclables, maintenant Migros offre un magnifique sac avec tulipes très colorée pour 2 francs suisses. Ils sont solides et durent plusieurs mois avant de rendre l'âme.

Je lis avec envie un blog en anglais qui comptabilise ses déchets en plastique. Impressionant de regarder ses propres poubelles pour traquer les déchets de plastique... même si on y fait attention, le volume est élevé. Et sans parler des emballages des jouets comme les poupées Barbie!!!

Quel est votre geste pour l'environnement dernièrement?

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Commentaires
B
On peut brandir toutes sortes d’études statistiques disant ceci ou cela mais peut-on leur faire confiance ? L’enquête diffusée à la télé, « le monde selon Monsanto » (Arte 11/03/08) avait révélé le procédé suivant à propos de décès par la dioxine. Une première étude avait mis en évidence un lien possible, le nombre de décès dans le groupe avec dioxine étant très significativement plus élevé que dans celui sans dioxine. Plus tard, une seconde étude réalisée par Monsanto conclut à l’absence de lien. Un chercheur a voulu avoir accès aux données brutes de Monsanto. Il a du frapper de bureaux en bureaux sans jamais obtenir de réponse. Il a pu cependant savoir que les 2 études avaient utilisé les mêmes données et a alors constaté que les experts de Monsanto avaient transformé des personnes décédées avec dioxine, selon la première étude, en décédées sans dioxine. Autrement dit ils avaient déplacé des poids du côté où la balance penchait vers l’autre pour conclure qu’elle était équilibrée !!!<br /> <br /> Un tel procédé est-il uniquement l’apanage de Monsanto ? Pour le vérifier il faudrait avoir accès aux données brutes. J’avais posé la question à un expert très connu de la vaccination hépatite B, Marc Girard. Il m’a répondu qu’on devait se contenter des résultats finaux publiés. Autrement dit on ne peut rien vérifier mais on peut constater que quand il y a un problème les études menées ultérieurement arrivent toujours au même résultat : la balance est équilibrée. C’est le cas avec l’hépatite B, le ROR, les hexavalents, la dioxine par exemple.<br /> <br /> Il n’est évidemment pas aisé de disposer d’éléments montrant une manipulation mais on a le droit de s’interroger car il arrive que cela filtre. Un exemple avec les hexavalents :<br /> <br /> Un communiqué de l’afssaps du 9/12/2003 suite à l’observation de 3 décès d’enfants 48 h après l’injection d’un vaccin hexavalent en Allemagne :<br /> <br /> « Ce signal a été confirmé par une étude cas attendus-cas observés, réalisée en Allemagne, qui a montré que le nombre de décès inexpliqué au décours de la 2ème année de vie et dans les 48 heures suivant l’administration du vaccin hexavalent (Hexavac®) était supérieur au nombre de cas attendu. Cependant, il a été considéré qu’en raison du très faible nombre de cas recensés (3 cas en Allemagne sur une cohorte de 700 000 enfants ayant reçu une dose de rappel sur une période d’analyse de novembre 2000 à juin 2003), et de certaines limites méthodologiques, en particulier dans l’estimation de la couverture vaccinale et du nombre de cas attendus, cette analyse ne permettait pas d’établir une quelconque relation de cause à effet. »<br /> Comme c’est bien dit ! mais l’étude n’a voulu retenir que ceux décédés dans les 48 h. Or, selon un documentaire d’Arte, « Le vaccin, un geste anodin ? » (27/11/07) il y en a eu beaucoup d’autres décédés dans les 8 jours par exemple :<br /> <br /> Un professeur de médecine légale, Randolf Penning, témoignera et Arte fera le commentaire suivant : <br /> <br /> «Presque chaque jour, des corps d’enfants sont transférés à l’Institut médico-légale de Munich pour y être autopsiés à la demande du ministère public. En 25 ans de carrière il a autopsié plus de 10 000 corps. Il a soudain constaté une multiplication de cas d’œdèmes cérébraux chez les nourrissons comme il n’en avait jamais vu auparavant ». <br /> <br /> 3 jours plus tard (30/11/07) j’assiste aux journées de veille sanitaire de l’InVS. C’est particulièrement assommant et pas rigolo du tout mais c’est le prix à payer pour avoir des infos différentes de celles complaisamment déversées au public. Les exposés ennuyeux sont la barrière qui sépare le monde très fermé des experts de celui du public. Bien que ces journées soient ouvertes au public (il faut s’inscrire mais c’est gratuit), ils savent que bien peu de gens extérieurs au sérail accepteront de supporter un tel assommoir. C’est un peu comme à Arcachon où les hautes vagues empêchent ceux qui ne savent pas naviguer d’aller au large.<br /> <br /> Une expert de l’Afssaps planche sur la vaccination hépatite B et dit soudain : « Les vaccins hexavalents en Allemagne ont aussi fait du mal. Chacun des pays a son dossier… » confirmant ainsi le documentaire d’Arte et infirmant les conclusions des communiqués précédents de l’Afssaps sur le sujet et qui affirmaient qu’on ne pouvait conclure. Notez le aussi qui s’inscrivait dans un contexte où elle parlait des effets délétères du vaccin hépatite B en France et qui sous-entend donc que ce vaccin a fait du mal en France. Sur le vaccin hépatite B elle dira qu’on ne peut exclure un risque mais que s’il existe il est faible. Pourtant, aujourd’hui, le discours entendu partout est qu’il n’y a pas de risque et que les études l’ont démontré…<br /> <br /> Avec le ROR et l’autisme je n’ai pas eu, pas encore, une expérience analogue mais elle se produira peut-être un jour. Pour l’hexavalent j’ai dû attendre fin novembre 2007 alors qu’un vaccin hexavalent avait été retiré du marché en septembre 2005. Mais je ne vais certainement pas avaler tout cru les habituelles affirmations des experts et les répéter comme un amplificateur sans m’interroger. L’expérience apprend la prudence…
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T
Cher Trol je pense que le <br /> principe de precaution est completement oublié ici. Aimeriez vous etre (ou votre enfant) cet infime pourcentage qui reagit negativement au vaccin? (que la cause de la maladie soit genetique, mercure ou combinée).<br /> <br /> Pourquoi imposer un medicament (vaccin) qui pourra<br /> causer des effets negatifs (maladies graves) chez une tres petite partie de la population, alors que les maladies traitées n'ont plus d'effets graves. En effet les maladies aujourd'hui traitées par le ror sont facilement traitables par des medicaments et ne sont observables qu'en de tres faibles cas a travers le monde.<br /> <br /> Une autre question m'a toujours intriguée: pourquoi ne pas demander à la population adulte de se vacciner contre telle ou telle maladie (rappels ror par exemple)? Il semble que ces maladies arreteraient de frapper après 10 ans? Et je ne parle pas de la grippe! Le systeme immunitaire n'est pas definitif et evolue meme durant la vie adulte. Et si on considere que le systeme immnitaire des personnes agees est plus deficient (comme celui des bebes) alors pourquoi ne pas (recommander) donner des rappels de vaccins ror ou autres à toutes les personnes agees?<br /> <br /> Ce qui m'importe surtout c'est de donner la liberté aux gens de choisir ce qu'ils desirent faire. Et les vaccins imposés aux enfants me genent. Alors si en plus des statistiques exactes (et assomantes .-)) viennent prouver l'inefficacité de certains vaccins (comme celle de certains medicaments) j'aimerai pouvoir m'en abstenir.<br /> <br /> Notre civilisation (pays) va de plus en plus vers la restriction des libertés (theoriquement pour le bone etre de la majorite) mais est ce vraiment pour notre benefice (je n'ose pas dire bonheur)?
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B
Certains se demandent si les vaccins ne seraient pas mauvais et les vaccinations mal faites. Mais il y a une chose qui est certaine, car on peut la prouver, c'est que les études épidémiologiques sur les vaccinations et leurs effets sont mal faites et que les experts qui les font ne sont pas bons.<br /> <br /> Un exemple simple : pour calculer combien de cas le BCG évitait en France chez les enfants de moins de 15 ans, en fixant a priori une hypothèse moyenne d'efficacité du vaccin, les experts utilisent une règle de 3 comme au primaire : 3 choux coûtent tant, combien coûtent 10 choux ? Mais ils oublient qu'il faut que tous les choux soient au même prix !!! Que vaudrait le calcul si les 3 choux ont été acheté au début du marché et les 10 à la fin, quand les marchands liquident les invendus, qu'il y a des bio et des pas bio, des gros et des petits ?<br /> <br /> Eh bien nos experts épidémiologistes ignorent cette condition fondamentale et élémentaire. Le problème du calcul des cas évités par le BCG pourrait être présenté aux élèves du primaire avec des carottes pourries : 90% des carottes sont traitées contre la pourriture avec un produit efficace à 50%; on a trouvé 550 carottes pourries; combien de carottes pourries le traitement a-t-il évité ? C'est une règle de 3 qui donne 450 : il y a 45% de carottes protégées, 55% de non protégées parmi lesquelles se recrutent les 550 pourries, donc il y en aurait eu 450 parmi les 45%. <br /> <br /> C'est peut-être assommant mais c'est ce calcul qui a fait écrire partout que le BCG évitait entre 300 et 800 cas par an, même par le ministre au Sénat.<br /> <br /> Il est donc essentiel, que ce soit assommant ou pas, de comprendre si c'est valable ou pas.<br /> <br /> Supposer que les 90% traitées aient été stockées au grenier et les autres à la cave en milieu humide et que, comme par hasard, les pourries aient toutes été trouvées à la cave, le calcul serait-il encore valable ? Non, bien sûr ! Il suppose une répartition homogène du risque de pourriture et du traitement.<br /> <br /> Cette condition est-elle réalisée pour la tuberculose ? Non ! Elle signifie en effet que les vaccinations et les contaminations soient réparties de façon homogène dans la population. Or, quand une personne a été contaminée on ne la vaccinera pas. Aussi, sauf vaccination systématique à la naissance, les enfants fortement et précocement exposés étaient moins vaccinés que les autres, exactement comme mes carottes non traitées qui étaient à la cave alors que les traitées était au sec au grenier.<br /> <br /> Nos experts en BCG et autres vaccinations (ce sont les mêmes) n'ont pas compris cela et c'est grave, très grave. Je suis désolé cher troll mais c'est grave même si c'est assommant à expliquer. C'est le prix d'une vraie recherche et pour la faire on ne peut rigoler.<br /> <br /> Et sur ces questions je pense être compétent puisque je suis mathématicien et que même à la retraite je n'ai pas encore tout perdu. De même pour le traitement statistique des données où nos epidémiologistes racontent n'importe quoi et je sais ce que je dis car j'ai enseigné la statistique pendant 20 ans dans une université.<br /> <br /> En plus de celui déjà donné, voici 2 liens pour des articles qui détaillent les méthodes utilisées et démontent pièce à pièce les erreurs et met en évidence l'incompétence des experts qui s'occupent aussi des autres vaccinations. <br /> <br /> Ce n'est pas de l'antivaccinalisme, c'était mon métier : chercher les lacunes et les incohérences dans une démonstration, et d'abord dans les miennes en tant que chercheur, dans celles des autres auteurs et dans les copies des étudiants en tant qu'enseignant. <br /> <br /> Je sais, c'est assommant et ça ne rigole pas comme les amusants trolls de Norvège, mais c'est à ce prix qu'on découvre ce que certains veulent cacher.<br /> <br /> Il est possible que les vaccins mériteraient mieux que les navrants experts qui les défendent et leurs zélateurs inconditionnels qui oublient qu'avec les statistiques on peut faire n'importe quoi, volontairement ou involontairement.<br /> <br /> http://vaccinbcg.canalblog.com/archives/2007/10/22/5356197.html <br /> <br /> http://vaccinbcg.canalblog.com/archives/2007/07/01/5482095.html
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T
On croyait la controverse sur l’autisme morte, eh bien la voilà qui resurgit par la façade politique.<br /> <br /> Maintes fois avancé, le lien entre vaccination et autisme constitue un mythe. Toutes les hypothèses qui ont été proposées, comme la présence de mercure, se sont révélées, après examens, sans fondements.<br /> <br /> Or, voilà que le gouvernement américain rallume le feu. Au début du mois, on apprenait que celui-ci allait compenser un couple de Georgie qui alléguait que l’autisme de sa fille, Hannah, aujourd’hui âgée de 9 ans, avait été causé par les vaccins qui lui ont été administrés en 2000.<br /> <br /> La décision du gouvernement ne dit pas spécifiquement que ces vaccins ont causé l’autisme, mais que les vaccins auraient « aggravé » un trouble cellulaire déjà existant —un trouble au niveau des mitochondries. Les experts interrogés un peu partout se sont dit stupéfaits —et inquiets de l’impact que cela pourrait avoir sur les campagnes de vaccination, avec tous les risques que cela entraînerait pour la santé publique. Le ministère de la Santé a refusé de commenter, et les documents relatifs à la décision n’ont pas été rendu publics.<br /> <br /> Quelque 5000 autres familles ont déposé des plaintes similaires. Le quotidien Atlanta Journal and Constitution parle de deux autres familles qui ont déposé des plaintes similaires à celle de la famille d’Hannah, pointant du doigt le thimérosal, un des composés du vaccin à base de mercure, comme étant la cause de l’autisme. Ces deux causes doivent arriver en cour en mai.<br /> <br /> Or, la piste du thimérosal a bel et bien été fouillée ces dernières années. Au Danemark, le thimérosal avait été éliminé des vaccins infantiles dès 1992. Une étude menée dans ce pays au début des années 2000 a révélé qu’après 1992, le nombre de cas d’autisme a... continué de grimper. Cette année encore, trois études distinctes ont échoué à trouver un lien entre thimérosal et autisme. L’une d’elles, publiée en janvier dans les Archives of General Psychiatry, a révélé qu’après le retrait du thimérosal des vaccins administrés en Californie, le taux d’autisme n’a pas baissé... là aussi, il a continué d’augmenter!
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T
Autisme et mercure:<br /> <br /> Présentée hier à Seattle à l’occasion de la sixième réunion internationale de la recherche sur l’autisme, une étude menée par des chercheurs canadiens réfute le mythe tenace plaçant le mercure comme étant à l’origine du développement de l’autisme et autres troubles envahissants du développement (TED).<br /> <br /> C’est à l’Hôpital de Montréal pour enfants du Centre universitaire de santé McGil (CUSM) que les études ont été menées par des chercheurs canadiens : celles-ci ont révélé que le taux de mercure contenu dans des échantillons de cheveux et de sang provenant d’enfants autistes (71 au total) et de leurs mères ne sont pas statistiquement différents de ceux prélevés chez des enfants non autistes (76 enfants « contrôles »). Pas de lien, donc, entre mercure et autisme.<br /> <br /> Parallèlement à cela, les variations du taux de mercure selon les enfants autistes ne peuvent être corrélés à la gravité de leurs symptômes.<br /> <br /> Cette étude canadienne soulève tous les soupçons portés sur l’hypothétique corrélation entre l’exposition au mercure et l’autisme. Les doutes étaient portés sur les vaccins pédiatriques contenant du thimérosal, les amalgames dentaires et le méthylmercure contenu dans l’alimentation.<br /> <br /> Le Dr Eric Fombonne, de l’Université McGill a précisé : "Nos conclusions n’appuient pas l’hypothèse selon laquelle l’autisme serait une forme d’intoxication au mercure. Les taux de mercure que nous avons détectés chez les enfants atteints d’autisme et leurs mères se situaient dans la fourchette normale de la population en général".<br /> <br /> Ainsi, les résultats de cette étude confirment l’inutilité des thérapies de chélation, couramment pratiquées aux Etats-Unis et utilisées pour traiter l’autisme. Ces thérapies ont pour but d’extraire les métaux lourds de l’organisme via des éléments spécifiques et cela, non sans risque.<br /> <br /> Ainsi, le mercure, discrédité par cette nouvelle étude canadienne, vient de prouver l’inefficacité de ce type de thérapies. Il en est ainsi de même pour le plomb et l’arsenic.<br /> <br /> «Maintenant qu’on a la certitude que le mercure n’a absolument rien à voir avec l’autisme, il faut répéter que la chélation est non seulement inutile mais dangereuse.», ajoute le Dr Fombonne.<br /> <br /> L’autisme, trouble du développement, touche aujourd’hui près de 10 personnes sur 10 000.
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